UN VOYAGE DANS MES LIVRES

Ce romancier est né le 26 juillet 1960.

Je crois avoir lu la plupart des ouvrages qu'il a publiés

Quelques-uns d'entre eux

  L'Écrivain de la famille, 2011,

- Prix Marcel Pagnol 2011

- Prix Rive Gauche à Paris 2011

- Prix Carrefour du Premier Roman 2011

- Prix Cœur de France 2011

- Prix du premier roman Méo Camuzet 2011

• La Liste de mes envies,  2012,
  - Prix Méditerranée des Lycéens 2013

- Prix des Lycéens 2013 de la Ville de Gujan-Mestras

- Prix Livresse de Lire 2013

• La Première Chose qu'on regarde, 2013,

• On ne voyait que le bonheur, 2014

- Prix des Lectrices Edelweiss 2014

- Prix Goncourt des Fougères 2014

- Meilleur roman de l'année 2014

• Les Quatre Saisons de l'été, 2015

• Danser au bord de l’abîme, 2017

• La Femme qui ne vieillissait pas, 2018

• Mon Père, 2019

• Un jour viendra couleur d'orange 2020

• L'Enfant réparé, , 2021, -Prix Lübeck 2022

• Une Nuit particulière, 2023.

   

ainsi qu'une filmographie intéressante.

Que dire  d'un roman que je n'ai pas éprouvé le besoin de résumer et qui pourtant fut encensé par certains lecteurs ?

Cet ouvrage se lit rapidement et s’oublie aussi facilement.

Parfois, quelques phrases joliment ciselées donnent l’envie de poursuivre la lecture.

Elles auraient d’ailleurs pu être écrites par une femme.

Peut-être parce qu’elles parlent d’amour et uniquement d’amour de l’adolescence (15/20 ans),

la maturité (35 ans),

le bilan d'une vie (55 ans)

et à la fin  d'une vie (75 ans)

de quatre personnes qui se croisent sans le savoir.

Quelques internautes m'ont affirmé que ce livre était empreint de poésie, et qu'il était bouleversant d'humanité.

Ils m'ont aussi précisé que je n'avais pas compris ce que Grégoire DELACOURT avait voulu faire passer comme message dans "Les quatre saisons de l'été".

J'avoue que je n'ai toujours pas trouvé les qualités que ces personnes m'ont vantées.

Je m'interroge : Grégoire DELACOURT aurait-il perdu son inspiration ?

PS :

En janvier 2022, j’ai relu « La première chose qu’on regarde ».

Que ceux qui me suivent sur internet,  lisent la modeste chronique que j'ai consacré à ce titre !

Ils comprendront les raisons pour lesquelles certains romanciers actuels me déçoivent.

Leurs éditeurs devraient leur conseiller d’écrire un roman tous les cinq ans et non un par an.

Les lecteurs attendraient l’événement. Ils seraient ainsi assurés de la beauté du sujet et du texte.

Tout le monde n'aime pas les mêmes sujets et n’exige pas d’un livre les mêmes voyages imaginaires. Je le conçois !

Mais des textes plus riches sur le plan littéraire sans être compliqués permettraient peut-être d’élever le niveau de nos étudiants.

Cet avis n’engage que moi !