ZAFON Carlos Ruiz - "L'ombre du vent" et "Le jeu de l'âme" - écrivain espagnols
Cet auteur espagnol est né à Barcelone en 1964. il est mort en 2020 à Los Angeles.
Quelques-uns de ces livres :
- « Le prince de la brume » - 1993 (prix de la jeunesse d'Edebé).
Cycle du Cimetière des livres oubliés[ avec :
- « L’ombre du vent » - Grasset – 2004
- « le Jeu de l'ange » 2009
- « Le Prisonnier du ciel » 2012
- « Le Labyrinthe des esprits » 2018
Cycle de la brume avec :
- « Le Prince de la brume » 2011
- « Le Palais de minuit » 2012
- « Les Lumières de septembre » 2012
Recueil de nouvelles et, etc.
Son quatrième roman, L'Ombre du vent, a été sélectionné dans les romans étrangers pour le prix Femina 2004.
Il a reçu aussi des prix littéraires français, comme le prix des Amis du Scribe et le prix Michelet en 2005, ainsi qu'au Québec, comme le prix des libraires du Québec 2005 (roman hors Québec).
Résumé : « L’ombre du vent »
Dans la Barcelone de l’après-guerre civile, un matin brumeux de 1945, un modeste libraire de livres d’occasion emmène son petit garçon dans un mystérieux quartier pour assister dans un endroit appelé « le cimetière des livres oubliés » à un étrange rituel. Il y convie son fils à adopter un livre parmi des centaines de milliers.
Le gamin, Daniel Sempère qui rêve toujours de sa mère morte rencontrera le livre qui changera sa vie et qui l’entraînera dans de nombreuses aventures. Il choisira un ouvrage d’un auteur inconnu et l’histoire s’emparera de lui. Il voudra tout savoir sur cet homme.
C’est ainsi qu’il croisera des personnages bizarres dans une ville que nous décrit avec talent Carlos Ruiz ZAFON.
Un récit qui risque de ne pas satisfaire des lecteurs plus exigeants même s’il se révèle attachant, poétique et truffé de rebondissements.
Je ne partage pas les avis élogieux de la presse littéraire sur cet ouvrage.
Cet avis n’engage que moi.
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Résumé : « Le jeu de l’âme »
Dans la Barcelone des années 1920, David Martin , publie des récits sur les mystères de cette ville grâce à l’appui d’un certain Pedro Vidal propriétaire d’un Journal.
Un homme qui jouera un rôle très important dans sa vie.
Puis, il écrira pour des éditeurs escrocs un roman « la cité des maudits » sous le pseudonyme d’ignatius B Samson. Épuisé par ce travail, il tombera malade.
Il apprendra qu’il est atteint d’une tumeur au cerveau inopérable.
Un jour, il sera contacté par un mystérieux éditeur qui lui proposera d’écrire un livre qui raconterait comment des hommes seraient capables de vivre et de mourir, de tuer et d'être tués ", en échange d'une fortune.
À partir du moment où il accepte ce projet, tout se détériorera autour de lui.
En fait, nous retrouverons dans cette histoire, David Sempère, l’enfant du "cimetière des livres oubliés" devenu David Martin dans « Le jeu de l’âme ».
J’aurais dû.
J’aurais pu détailler l’histoire, mais je n’ai pas voulu.
D’autres lecteurs le feront à ma place.
Carlos Ruiz ZAFON. aurait pu éliminer la moitié de ce pavé de plus de 600 pages qui part dans toutes les directions et dans lequel on se perd trop souvent !
Je n’ai pas goûté la partie sur l’ésotérisme, la religion, les portraits de quelques personnages sortis de nulle part et les situations rocambolesques qui encombrent le récit.
D'autre part, beaucoup d’éléments figurant dans son premier livre « l’ombre du vent » se retrouvent dans « Le jeu de l’âme »
Ce qui donne le sentiment que l’auteur se répète.
Les descriptions de la ville de Barcelone et des paysages sauvent un peu mon impression négative.
Pour apprécier ces deux ouvrages, il faudrait que je les relise.
La lecture est un voyage !
Nous ne ressentons pas tous les mêmes émotions au même moment !
Mais cet avis n’engage que moi !
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