PENNAC Daniel - "La petite marchande de prose"
C'est un écrivain français né en 1944.
J'avais déjà entendu parler de Daniel PENNAC, mais je n'étais jamais parvenue à m'intéresser à l'histoire de la célèbre Saga Malaussène.
J'ai toujours considéré que ses livres étaient destinés aux adolescents, et à certains adultes. C'est la raison pour laquelle je les avais négligés.
Quelques-uns de ses romans
Saga Malaussène
Série Une aventure de Kamo
-
L'Évasion de Kamo, 1992
des romans pour la jeunesse - des essais - du théâtre - des livres illustrés - des albums pour enfants - des bandes dessinées, du cinéma, etc.
Distinctions
-
Prix du roman policier francophone de la ville du Mans 1987 pour La Fée carabine
-
Prix Mystère de la critique en 1988 pour La Fée carabine
-
Prix du Livre Inter en 1990 pour La Petite Marchande de prose
-
Prix des Maisons de la Presse en 1999 pour Aux fruits de la passion
-
Prix Grinzane-Cavour en 2002
-
Prix Ulysse en 2005 pour l'ensemble de son œuvre
-
Prix Renaudot en 2007 pour Chagrin d'école
-
Grand prix Metropolis bleu en 2008 pour l'ensemble de son œuvre
-
Nommé aux Annie Awards en 2014 dans la catégorie « Meilleur scénario pour un long métrage d'animation » pour le film Ernest et Célestine
-
Grand prix de littérature de l'Académie française en 2023 pour l'ensemble de son œuvre
-
Prix Raymond-Chandler en 2023 pour l'ensemble de sa carrière.
Résumé :
C' est le troisième tome de la saga familiale Malaussène qui se compose dans cet ouvrage de :
Benjamin Malaussène,
de sa soeur Clara qui a décidé d'épouser un vieux directeur de prison, de Julie, sa petite amie qui le quitte brutalement après une dispute,
de sa mère toujours absente qui est en voyage à Venise avec un certain Pastor.
Et puis, il y a tous les autres : les enfants, les copains, les policiers, sans oublier sa patronne, directrice des éditions du Talion, sa secrétaire, un ministre et sa mère, etc.
Déprimé par ses problèmes personnels, Benjamin donne sa démission, à sa patronne Zabo des éditions du Talion.
Cette dernière la lui refuse. Elle préfère le garder et lui proposer d'incarner l'immense auteur J.L.B, dont personne n'a jamais vu le visage.
La patronne des éditions du Talion a besoin de remonter le chiffre d'affaire de ses éditions qui stagne.
Benjamin accepte de se retrouver embarqué dans des aventures plus rocambolesques les unes que les autres, avec gens loufoques, et ce au péril de sa vie.
Je laisse le lecteur découvrir des aventures qui frisent l'invraisemblance et qui en disent long sur la maturité de Benjamin.
Que dire ?
Même si le style de cet auteur m'a dérouté, j'ai pendant plus de la moitié du récit aimé les nombreux traits d'humour présents dans "La petite marchande de prose".
J'ai salué l'imagination de l'auteur.
Dans l'autre partie de ce roman, il y a tellement de morts, de situations absurdes, de personnages étranges que l'ennui m'a progressivement gagné. Trop, c'est trop !
Je suis peut-être trop âgée pour apprécier ce type de littérature.
Peut-être que je devrais lire les autres tomes de cette saga ?
Ceci ne m'a pas empêché de conserver un bon souvenir de cette curieuse histoire.
Cet avis n'engage que moi
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 11 autres membres