UN VOYAGE DANS MES LIVRES

Cet auteur d’origine algérienne est né le 10 janvier 1955.

Pour tous ceux que cet écrivain intrigue, je leur conseille de choisir

« L’écrivain «  paru en 2001.

Mais avant, il faut avoir lu d’autres ouvrages comme :

« l’Olympe des impostures » publié en 2010,

« les anges meurent de nos blessures" — publié en 2013,

"cousine k" — publié en 2003,

« l’imposture des mots » — publié en 2002,

et tant d’autres pour comprendre que Yasmina KHADRA a été influencé par son histoire personnelle ou par celle des gens qu’il a rencontrés.

En effet, comme d’autres écrivains, Colette, Mauriac, Maurois, Sagan, Zweig,

Yasmina KHADRA utilise certains éléments de sa vie pour les faire figurer dans la plupart de ses récits.

En 2018, son livre ‘Le baiser et la morsure’ - entretiens avec Catherine Lalanne, apporte un éclairage passionnant sur cet homme en quête de vérité dont le succès littéraire ne se dément pas.

Pour mettre l’accent sur le dialogue de sourds qui oppose l’Occident et le monde arabe, il nous conte des histoires où règnent la bêtise humaine, la culture de la violence, et l’intolérance.

Cet écrivain a vécu mille vies comme les personnages de ses romans. Il fut, et il est toujours autant critiqué tant pour son écriture que pour ses positions.

Seul l’éclairage que Yasmina KHADRA apporte sur les hommes m’intéresse, mais aussi la façon dont il écrit. Son style parfois déroutant, sa poésie, l’utilisation des mots savants employés laissent des traces dans la mémoire des lecteurs qui aiment ses romans.

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Son don de visionnaire m’a incité à rappeler aux internautes la qualité de son écriture dans :

” Les hirondelles de Kaboul »,

« L’attentat »,

« Les sirènes de Bagdad ».

Il n’a jamais été question et il ne sera jamais question d’en faire un débat politique sur les événements qui se déroulent actuellement à Kaboul. 

Mon admiration concerne uniquement le style de cet écrivain.

Compte tenu des remarques que j’ai reçues, je tenais à le préciser.

Cet avis n'engage que moi.

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