UN VOYAGE DANS MES LIVRES

UN VOYAGE DANS MES LIVRES

KAFKA Franz - "Le procès"

Il est né en 1883 et il est mort en 1924.

 

C’est un écrivain austro-hongrois de langue allemande.

 

Bien qu’il soit juif, Franz KAFKA accorde peu de place — voire aucune — dans son œuvre au sionisme.

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Quelques-unes de ses œuvres :

 

La Métamorphose (1915)
La Colonie pénitentiaire (1919)
Le Procès (1925)
Le Château (1926)
L’Amérique (1927)

 

 

Quelques mots sur Franz KAFKA que beaucoup ont étudié à l'école.

 

Franz KAFKA considère l’écriture comme une nécessité profondément intime. Il disait aussi :

 

« Un livre doit être la hache qui fend la mer gelée en nous ; voilà ce que je crois. »

Il a aussi ajouté  :

 

« Si le livre que nous lisons ne nous réveille pas d’un coup de poing sur le crâne, à quoi bon le lire ? »

Pour Franz KAFKA, on doit écrire comme si l’on se trouvait dans un tunnel sombre, sans savoir encore comment les personnages vont se développer ultérieurement.

 

L’œuvre de Franz KAFKA a toujours intrigué.

Elle fut certes critiquée, mais surtout analysée.

 

Franz KAFKA a souvent étudié la psychologie de ses personnages pour les placer dans des situations absurdes.

Seuls avec leurs peurs et complexes, ils ignorent les tenants et les aboutissants qui régissent leur relation avec leur entourage comme le lecteur d’ailleurs.



Résumé :


Dans "Le Procès", la scène débute lorsque K. ouvre la porte de sa chambre pour s’informer de son petit-déjeuner et qu’en fait il se trouve devant deux hommes qu’il ne connaît pas. Ils l’accusent d’une faute qu’ils ne nomment pas. Mais, ils lui disent qu’ils ne savent pas qu’elle est la raison pour laquelle il est arrêté.

 

Cependant, K continue à travailler dans une banque comme fondé de pouvoir sans savoir de quoi il est accusé.

Il ne voit jamais ses juges et il n’a aucun élément sur les lois qui expliquent son arrestation.

Ce qui crée chez K un lent processus d’aliénation mentale qui s’étale sur un an avec des non-dits, des annonces contradictoires, des attentes interminables qui le confrontent aux démons de sa propre solitude.

 

Pour se défendre, il cherche des éléments qui prouveraient son innocence. Il se pose la question sur ce qu’il a fait de bien ou de mal.

 

La loi, c’est quoi au juste ? Qui la représente ?

K doit la subir en supportant des hommes qui le placent d’emblée en position d’infériorité. Une situation angoissante qu’il vit mal, car il ne la comprend pas et que personne ne peut l’aider.

 

Je laisse le soin au lecteur de découvrir la fin du roman "Procès".

 

 

 

Que dire ?

 

Franz KAFKA est pour moi un auteur difficile. C'est le souvenir que j'avais gardé d'un autre de ses livres intitulé  "La métamorphose".

 

Dès les premières pages, 'Le Procès"  met mal à l’aise. 

Il fait penser aux dictatures qui ont sévi et sévissent encore dans le monde.

 

Ce livre est très compliqué à synthétiser pour une personne qui ne possède pas les compétences requises.

 

D'autant plus que Franz KAFKA décrit des situations bizarres dans lesquelles les lecteurs se trouvent embarqués sans savoir où ils vont arriver, mais surtout pourquoi.

 

 

 

Ce récit semble tellement étrange qu’il donnerait même presque envie d’en rire notamment quand les femmes se sentent attirées par K. depuis qu’il est accusé. Comme si cette nouvelle situation lui conférait une aura particulière. 

 

C’est un roman qui laisse des traces.

Il incite le lecteur à réfléchir sur de nombreux sujets.

Chacun peut les interpréter selon sa propre personnalité, mais ce n'est pas évident de parvenir à les résumer correctement !. 

 

 

 

 

Cet avis n’engage que moi.




20/10/2024
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