CHAUVEAU Sophie - "La fabrique des pervers"
Cette écrivaine, journaliste et metteuse en scène est née en 1953.
Quelques-uns de ses romans :
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Carnet d’adresses,
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Mémoires d’Hélène,
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Les Belles Menteuses,
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L’Obsession Vinci,
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Noces de charbon,
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Le Journal de grossesse de la vierge Marie,
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La Fièvre Masaccio,
Elle a également publié des essais, des biographies, et des livres d’art
C'est par le plus grand des hasards que l’ouvrage intitulé « La fabrique des pervers » s’est retrouvé dans mes mains.
Je n’essaierai pas de résumer "La fabrique des pervers"
comme j’ai pu le faire dans ce blog avec : SPRINGORA Vanessa — « Le consentement »
et je ne le ferai pas avec celui de "La famille grande" de Camille Kouchner que je n’ai pas l’intention d’acheter.
Je sais cependant que ces ouvrages ont aidé à libérer la parole sur l’inceste. Et à ce titre, ils ont tous leur raison d’exister.
Résumé :
Sophie CHAUVEAU déroule ce que fut sa famille sur trois générations.
Grâce à sa cousine lointaine qui a été violée par son père enfant pendant plusieurs années, Sophie CHAUVEAU se souvient de sa propre histoire.
Elle décide d’analyser comment sa famille a toujours utilisé l’argent pour assurer son pouvoir sur notamment les enfants et en se livrant ainsi sur eux à des actes répréhensibles.
Le sentiment d’impunité de ces hommes les amènera à soumettre ainsi à leur autorité tout le monde imposant ainsi le silence même aux femmes.
Sophie CHAUVEAU décortique le mécanisme de cette fabrique des pervers avec une précision chirurgicale.
Que dire ?
Je la connaissais surtout pour ses romans historiques qui se déroulaient à Florence en Italie.
D’elle, j’avais lu
« La Passion Lippi » en 2004
« Le rêve Botticelli » en 2005
et « L’obsession Vinci » en 2007.
Amoureuse de cette ville dans laquelle j’ai séjourné plusieurs fois, j’avais apprécié le travail qu’elle avait réalisé sur ces sujets et la qualité de son écriture.
Cliquer sur ce lien : ITALIE - Florence
Au début , j’ai pensé que "La fabrique des pervers" était un roman.
Je me suis souvent perdue dans les prénoms, les familles et dans la façon dont Sophie CHAUVEAU a mené son enquête.
Mais, j'ai surtout été peinée, désarçonnée par sa confession et à ce titre, je préfère m’abstenir de donner mon opinion.
Cet avis n’engage que moi.
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